Une chienne nommée Sinead...

3h30 ce matin... réveillée par "l'appel du Maitre"... sur mon portable s'affichent ces quelques mots:

"12h30 chez toi, plug dans le cul. A genoux, front au sol, yeux bandés. M"

Engourdie par le sommeil, c'est la chienne qui se réveille. Je suis comme une pile, la respiration qui s'accélère, palpitations...

Cela me réconforte de me sentir à ces mots, même quand je dors, toujours attachée à ma laisse.

Et ce message me rappelle ces quelques fois du début de notre relation, où mon Maitre me réveillait en pleine nuit, faisait me mettre à ses pieds pour les embrasser, lui confirmer (entre autres) que je n'étais "digne de rien d'autre" et me baisait. C'est un souvenir qui me trouble, il est si difficile de formuler à voix haute que l'on est rien d'autre.... Un souvenir douloureux aussi car il laissait alors notre relation "au bord de la route", ne souhaitant pas aller trop loin alors que j'étais corps et âme, toute entière à lui.

...L'esprit agité, la chatte humide, j'essaie de retrouver le sommeil.

  .....

 

12h30, je le reçois comme il se doit, exactement tel qu'il l'a souhaité, rabaissée dans cette position. Le mot de satisfaction ne vient pas,  ce qui à mes yeux augure une séance peut-être plus dure et sans complaisance. Il se place derrière moi, me caresse et me fesse sans retenue. Ses mains viennent à peine caresser mes seins qu'elles les malaxent, les pincent aussitôt et durement. La position devient difficile à tenir dans ces conditions mais la soumise en moi se sent si bien, à sa place...

Je le sens placer une pince sur mon téton puis sur l'autre, presque en douceur... J'aime le contraste entre le pincement dur et froid, et la chaleur/douceur de ses mains sous mes seins... Puis d'un coup, je ne m'y attends pas,  il laisse tomber les poids qu'il maintenait aussi de ses mains. Mes tétons tirés vers le bas, la surprise du lacher subit amplifie la douleur et je ne peux m'empêcher de me plaindre et me rebeller d'un vain "ah nan meeeeerde!!!...." qui sort tout seul tant je souffre. Mais je me ressaissis de suite pour éviter que les poids ne bougent et ne me fassent plus mal.

C'est à présent le martinet qui vient claquer sur mon dos, ma nuque, mes fesses... Je comprends qu'il a décidé de ne pas m'épargner, je souffre et lui suis reconnaissante à la fois de me traiter ainsi et me faire ressentir qu'il m'emmène avec lui sur sa route, enfin.

 

Je suis toujours à 4 pattes, il me dit : "regarde dans quelle position tu es, c'est une position de salope ça... t'es qu'une grosse salope"... Ses mots font monter une légère honte en moi mais j'aime ça... "Redresse-toi"...je m'assois, il me fait me mettre à genoux, sans ménagement, en tirant mes cheveux et continue ainsi de maltraiter mes seins.

Il me fait ensuite mettre sur le lit, me retourner sur le ventre et vient m'écarter les jambes de part et d'autre du lit pour se placer entre elles, là je me demande et crains ce qui m'arrivera, j'ai envie de retirer ce bandeau mais il me signifie de ne pas bouger.

 

"Ton cul il faut le remplir, c'est sa fonction première"... Le plug réintroduit dans le cul, sa queue ne tarde à venir s'engouffrer dans ma chatte de façon très inattendue! Ses coups de queue agissent aussi sur le plug. Pénétrée de part et d'autre et sous son poids, je pense à cet instant ne plus connaitre de plus forte excitation ni plaisir après ça!... Mes deux orifices ainsi pris, je suis bien et j'aime ça.

Le plug retiré, il revient s'écraser sur moi, ses jambes enserrant les miennes, me maintenant ainsi immobilisée sous son poids, il continue de me ramoner le cul, ne décollant jamais son corps du mien. Ce sentiment d'être ainsi prise sans pouvoir me dérober (encore faudrait-il que j'en aie envie!) m'excite toujours plus.

 

Plus tard il me fait me retourner sur le dos, pour me sodomiser à nouveau et me défoncer vigoureusement!... J'ai envie qu'il jouisse comme jamais, me sentir déborder...

.....

Je n'émerge pas de ma position de soumise et ne reprends pas le contrôle rapidement cette fois,  je craque  même un peu sans savoir pourquoi sur le moment... Là il me demande d'exprimer ce que je ressens, j'en suis incapable mais j'aime comment je me sens, je ne m'étais pas sentie ainsi depuis longtemps....

Plus tard, alors que nous nous quittons, je me surprends à lui dire spontannément "merci"...