100 claques sur une même fesse qu'il m'a fait choisir. Cela allait être si pénible qu'il a préféré m'attacher afin que je ne cherche pas à me protéger ou me soulager de mes mains entre 2 claques... Les mains de part et d'autre d'un baton de bambou, fixées avec un emballage alimentaire...

Il me fait me retourner et va fixer le baton à mon lit. Je ne cherche même pas à tester la solidité du système, je suis attachée physiquement et psychologiquement par le simple fait de vouloir ne surtout pas me dérober malgré la douleur qui allait forcément devenir difficilement tolérable. Mais ainsi attachée, je me sens plus libre, peut-être parce que je n'exerce plus de controle...

Je suis déterminée à compter chaque claque comme il le demande et j'y parviens plutot bien à mon grand étonnement. Mais à mesure que l'on s'approche des 40 il accélère, ce qui me fait suivre difficilement, toute occupée à tenter de faire abstraction de la douleur, les muscles tendus. Mais je continue toutefois de compter dans ma tête tout en encaissant de plus en plus difficilement les claques fortes et rapides. La claque tombe toujours précisément au même endroit et accentue chaque fois la douleur qui n'a pas le temps de s'estomper. Jusqu'à ce moment où mon corps et mon esprit cessent de lutter contre la douleur et se retrouvent dans l'acceptation totale de ce qui se passe. A ce moment je ne suis véritablement plus que soumise, plus que ce qu'il veut que je sois, je ne m'appartiens plus, dans le vrai sens du terme. Je sais qu'il pourrait faire alors ce qu'il veut de moi et je me sens bien. C'est flippant quand on y pense après, mais si bon à la fois cet état... Il me demande à la fin jusqu'à combien j'ai pu compter, je lui annonce 70. Il reprend alors à 70 jusque 100 alors que je m'efforce à nouveau à compter à haute voix. Et je lui suis reconnaissante pour ça.

L'autre fesse aura droit finalement à d'autres châtiments. Des coups de tiges de bambou comme j'y ai déjà eu droit une fois. Cette tige qui laisse un hématome violacé.... Je l'appréhende et je l'aime. Pour les marques que je sais qu'elle laissera longtemps. Parce que ces marques témoignent de ce que je suis. Je me souviens précisément la ressentir me caresser le dos... et venir tapoter "gentiment" mon bras. J'ai à ce moment l'espoir fou et inexpliquable d'être couverte de partout, de griffes, hématomes, coups.... Une idée troublante mais qui m'apaise tant...

...Il entreprend ensuite de jouer avec mon anus à l'aide d'un stylo (parce que c'est un stylo qui "trainait" là mais ç'aurait pu être un certain plantoir si seulement je ne l'avais pas "égaré'). Il me montre aussi le paquet de 30 crayons qu'il envisage d'introduire tout en me fessant et en en faisant une vidéo...

Il prend quelques photos bien crues, qu'il me permet de garder "pour nous"...

Il me demande ensuite de le sucer et de ses doigts entre mes fesses, me motive. Il me fait alors m'imaginer "10 gars derrière moi qui feraient la queue pour venir se décharger dans mon cul"... et je n'ai aucun mal à me l'imaginer...

Il me fait me mettre à 4 pattes, me sodomise sans ménagement et j'adore ça.... A ce moment, je ne suis plus qu'une salope....

Après être passé dans la salle de bain, il revient vers moi et me dit "bouge pas, ça va faire une belle photo ça! Ecarte un peu les jambes"...