Une question me trottait dans la tête depuis un moment : pourquoi n'y avait-il eu aucune réaction de mon Maitre sur l'article "amoureuse de ses coups"?... Ce soir j'ai eu la réponse...

Je L'ai accueilli comme il se doit : à genoux, seins et chatte nus et découverts, jambes écartées, collier... Cela L'a ravi de me trouver ainsi d'emblée à ses pieds, moi qui suis d'un naturel rebelle. J'ai vu le plaisir qu'IL avait à me voir ainsi...

Après LUI avoir servi son café, avoir testé de mon téton que celui-ci ne brulait plus, je me suis vite retrouvée penchée sur l'assise du canapé, le cul très rapidement pris d'assaut de son puis ses doigts... Il attrappe alors l'appareil photo souhaitant me montrer le tableau et aussi parce que je trouvais que l'image de ses doigts dans mon cul manquait à ce blog...

IL me faisait remarquer à nouveau comme il était aisé d'y entrer quand c'était LUI qui voulait "m'enculer"... IL me faisait rappeler que c'était un "trou à tout", je devais lui dire, IL sait ma difficulté à parler en des termes crus. Fouillant mon cul avec ardeur, IL me dit qu'il LUI est "si facile d'y entrer, ton cul c'est un hangar"!... Ses mots, ma posture, le plaisir que je prends à sentir mon trou se dilater autour de ses doigts, provoquent en moi une nouvelle vague de pensées cochonnes malgré mes tentatives pour les refouler.

Après une accalmie où il s'amuse à me pincer plus ou moins distraitement mais durement les tétons, j'ai ce mauvais réflexe de LE taquiner en lui disant qu'"une chienne, ça mord"... D'un bond IL se lève, met sur mes yeux un bandeau, me dit de ne pas bouger, va dehors, revient, se dirige dans la salle de bain... puis revient vers moi en me disant "t'as intérêt à serrer les dents!". Moment de panique, j'ai peur qu'IL ne me fasse trop mal, qu'IL m'arrive quelque chose que je ne saurais supporter... Puis je sens une douleur terrible sur mes fesses! J'ai compris alors qu'IL était allé chercher un tuteur, tige de bambou qu'IL m'appliquait maintenant violemment sur les fesses en me disant "qu'une chienne il faut la dresser".

Je ne saurais dire comment j'ai fait pour ne pas tenter de m'y dérober... C'était comme ça, c'était ainsi tout simplement. Et à mesure qu'IL frappait, toute volonté, toute résistance me quittait, je n'étais plus que sa chose, une chose LUI appartenant, dont IL est en mesure de faire ce qu'IL veut. J'aime tant ce moment où tout me quitte pour n'être plus qu'à LUI, entièrement docile... dans l'acceptation totale, domptée.

Les fesses brulantes et boursoufflées, reprenant lentement mes esprits, IL me dit alors que maintenant, IL peut m'envoyer le commentaire attendu... (que voici)

"Tu vas enfin avoir ta réponse. Si l'attente a pu te paraitre longue j'en suis désolé, mais il me fallait être arrivé à ce stade afin de pouvoir répondre.

Ce stade où j'ai décidé de te marquer de manière bien "SM" afin de te montrer que cette fois nous sommes bien passés à de l'authentique, à du sérieux.

A l'époque, en effet j'aurais pu profiter de cette situation où tu t'offrais sans réserve apparente à moi. J'en avais très envie mais en même temps je venais de vivre quelquechose de très fort, de très intense, et je ne souhaitais pas aller dans ce sens là avec toi. Alors je te l'accorde je ne t'ai pas donné ce que j'aurais pu, ce que tu étais en droit de vivre. J'ai fait dans le basique, dans le soft, et si alors je ne t'ai pas marquée dans ta chair, j'ai au moins marqué ton esprit, peut-être ai-je été ton détonateur.

Alors voilà aujourd'hui je te marque, et sans que tu me le demandes, ou sans que tu y fasses allusion, comme pour ta première marque sur la fesse!!! Juste parce que cela me fait plaisir, parce que je te prends comme mienne, comme soumise au sens très noble du mot dans la bouche d'un initié (tu comprends exactement ce que je sous entends je le sais) Et que là je vais exprimer mon art comme tu l'as écrit! de manière continue et variée, afin que régulièrement tu puisses apercevoir sur ton corps les marques d'amour que je te laisserai, j'ai bien écrit d'amour car il faut aimer pour marquer le corps de cette manière, comme il faut aimer pour accepter d'être ainsi marquée."

Merci Maitre de me traiter comme je le mérite.

Merci de me considérer telle que je suis.