Samedi 23 février 6 23 /02 /Fév 21:35

"0ui ou non?!" ...Pour diverses raisons je n'étais plus très sûre de la viabilité de cette relation. Pas mal de "questionnements" avaient laissé place au doute.

Le "oui mais...", le "je sais pas" ne faisant pas partie du choix, je décide de répondre "oui".

 

23 février 2002, après plusieurs mois à errer librement sans laisse, je retourne à ma place. Douce sensation pour une soumise que celle de sentir la laisse que l'on raccroche à son collier, sa dépendance à celui qui la tient.

Un sentiment d'apaisement quand on cesse de lutter contre sa nature et que l'on est remise à genoux... Car peut-on un jour se libérer véritablement de cette condition? Ca me semble impossible une fois que l'on a compris et que l'on est conscient qu'être soumise sexuellement ne nait pas d'une envie mais d'un état.

On n'échappe pas à ce que l'on est.

 

Je le reçois, vêtue d'un corset noir, allongée sur mon lit, jambes légèrement pliées, mon intimité offerte à sa vue et à ses envies.

Il me dit : "voilà une vision qui va ensoleiller ma journée!"

 

Je me sens moins flattée que comblée de le satisfaire.

 

Je reste silencieuse. Si silencieuse qu'il me demande si ça va...

 

Il s'approche et me pince durement un téton puis l'autre. J'ai mal.

"Mets toi à genoux!" m'ordonne t-il rapidement. Dans un réflexe j'obéis sur le champ. Il se place derrière moi, me caresse la nuque et se met à me malaxer les seins à pleine main, les comprime durement, de toutes ses forces probablement, puis pince à nouveaux mes tétons très fort. La douleur est vive! J'essaie de la réprimer, ne pas plier et rester silencieuse non sans mal. Mon esprit commence à s'embrouiller, et je me retrouve allongée, sa main venant frapper sans ménagement et énergiquement ma fesse, toujours au même endroit pendant un bon moment. Cela devient vite très douloureux. Mes réactions commencent à être bruyantes, je mords l'oreiller pour étouffer mes cris. Une partie de moi a envie que la douleur s'arrête, en même temps que l'autre se laisse emporter dans un vertige à mesure qu'il se montre sans pitié et qu'il varie le rythme. Parfois deux claques s'enchainent, par moments je crains, sursaute et me crispe devant celle qui ne vient finalement pas quand je m'y attendais. Mes muscles se détendent alors qu'en voilà une plus forte...  J'ai si mal, je lui dis, mon corps tente d'esquiver mais la claque tombe quoi qu'il en soit. A fleur de peau, sur le qui vive, je finis par tenter de dissimuler mes tremblements tout en espérant que cela dure jusqu'aux larmes... 

 

Un instant je me demande s'il s'agit d'une punition tant il se montre violent, mais j'aime ça. A un autre moment je me dis qu'il faut qu'il ait réellement pris possession de moi pour aller jusque là, et j'aime ce sentiment d'appartenir, de dépendre.

 

Il continue ainsi jusqu'à me dire de me remettre à genoux. Là il me maltraite à nouveau les seins déjà tout endoloris, je prends sur moi pour ne pas me dérober ni me plaindre, quand il sort deux pinces de sa poche! Léger recul de ma part, je pense ne pas pouvoir les supporter mais je m'y soumets malgré tout. Au bout de chaque pince une chaine reliant un poids. Heureusement les poids ne bougent pas trop, frolant mes cuisses... Il me caresse, me donne encore quelques claques, tandis que je tente de résister à la douleur.

J'ai hâte qu'il m'enlève enfin ces pinces. Il me les retire enfin avec une volonté bien affichée de ne rien m'épargner : il tire dessus jusqu'à ce qu'ils s'enlèvent ce qui fait affreusement mal.


Parfois attentionné, il vérifie l'état de ma chatte et relève encore une fois à quel point je mouille. Il ne manque pas d'aller vigoureusement me caresser et me pénétrer de ses doigts qu'il fait aller et venir très énergiquement, si bien que l'on entend clairement qu'elle est trempée. Il le fait sans doute dans ce but, il sait que cet "aveu" indiscutable me gêne toujours beaucoup.


Le supplice terminé, il me demande d'exciter ses tétons, il aime ça. Je m'applique à le faire avec mes doigts, avec ma bouche. A sa demande je le suce...

Au bout d'un long moment, il me dit de m'allonger, se met entre mes jambes et me caresse la chatte de son sexe pour s'y engouffrer, relevant de ses bras mes jambes. Il va et vient en me regardant fixement et me dit : " voilà comment tu devrais toujours être, toi, dans cette position"...

"Toujours être dans cette position"... A ces mots j'imagine... ne servir qu'au plaisir du sexe... constamment...


Commence une rafale de mots, tous plus salaces les uns que les autres : ""tu imagines, qu'on te prenne par derrière en même temps, tu imagines?"... "salope!"... "tu aimes ça, la queue hein?"... "dis le!"... "ça rentre tout seul"... "on pourrait en mettre deux"... "j'ai les couilles trempées tellement tu mouilles"


Oui j'aime la queue, rien que de l'écrire me fait mouiller.

 

A un moment il m'ordonne de me placer sur lui, "tête bêche". Il me travaille le cul pendant que je le suce. De son doigt il pénètre mon anus... Il aime aussi user de cet endroit. Il me dit "ton cul est fait pour être comblé".

 

Il se montre satisfait de mon retour à ma place. Il me dit que c'est comme ça qu'il m'aime.

*********

 

Peut-être que tous les détails n'y sont pas... Dans ces moments, mon esprit s'embrouille tant, qu'il m'est difficile de tout livrer d'un bloc après coup.

 

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